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Coup du lapin

Le « coup du lapin » est un traumatisme cervical résultant le plus souvent d’un brutal changement de vitesse (accélération, décélération). Plutôt que de parler de coup du lapin, les Anglo-Saxons préfèrent parler de traumatisme cervical en « coup de fouet » (whiplash).
Le plus souvent, le traumatisme cervical est mineur, sans lésion de la colonne vertébrale. Une entorse cervicale, aux conséquences parfois graves, est cependant systématiquement recherchée

Risques

Les traumatismes cervicaux ou coups du lapin sont responsables de plaintes fréquentes après un accident de la circulation, même à faible vitesse. Douleurs, raideur cervicale peuvent devenir chroniques. C’est pour cette raison que le coup du lapin est un motif récurrent de plaintes et d’expertises dans des pays où le niveau de protection sociale et d’indemnisation est élevé.

Les enfants sont également concernés, avec 3,3 % des victimes d’accidents de la voie publique (passagers de voitures) présentant une ou plusieurs limitations suite au coup du lapin. (1)

The “whiplash” is neck trauma resulting most often a brutal speed change (acceleration, deceleration). Rather than speaking of whiplash, the Anglo-Saxons prefer to speak of whiplash in “boost” (whiplash).
Most often, the neck injury is minor, no spinal injury. Whiplash, with sometimes serious consequences, however, is systematically sought

Risks

Cervical trauma or strokes rabbit are responsible for common complaints after a traffic accident, even at low speed. Pain, stiff neck can become chronic. It is for this reason that whiplash is a recurring pattern of complaints and expertise in countries where the level of social protection and compensation is high.

Children are also affected, with 3.3% of accident victims from the public road (passenger car) having one or more limitations due to whiplash. (1)

Constipation

La constipation est un symptôme caractérisé par un retard, ou une difficulté à évacuer les selles. On parle de constipation quand il y a moins de trois selles par semaine et/ou quand les selles sont difficiles à évacuer (à exonérer, pour les médecins).
Elle est chronique quand elle dure depuis plus de 6 mois. Des selles liquides ne réfutent pas une constipation, qui s’établit scientifiquement sur un poids de selles quotidien inférieur à la moyenne : une vérification impossible en pratique.La constipation par ralentissement du transit digestif est la forme la plus fréquente.
La constipation « terminale », appelée dyschésie recto-anale, est un trouble de la seule évacuation des selles, au niveau du rectum et de l’anus. Il est fréquemment de combiner les deux troubles.
La constipation peut être la seule maladie (constipation idiopathique) ou être secondaire à une autre maladie.

Risques

Dans les pays occidentaux, la prévalence de la constipation se situe entre 15 et 20 % de la population. En France, une enquête réalisée dans la population générale sur les plaintes subjectives a trouvé une constipation chez 35% des interrogés, et une sensation d’évacuation incomplète chez 19% (Abrégé d’hépato-gastro-entérologie 2009 – ECN, Elsevier Masson). Les femmes sont plus sujettes que les hommes à cette plainte.

La constipation accompagne les toxicomanes : morphine, cocaïne et leurs dérivés sont puissamment constipants. La consommation de nombreux médicaments modifiant l’équilibre neuro-végétatif expose aussi à cet effet indésirable.

Elle peut à la longue entraîner des complications comme des fissures anales, des hémorroïdes, une faiblesse du périnée favorisant l’incontinence urinaire et/ou anale, et des troubles sexuels.

Le risque majeur est l’occlusion ou la sub-occlusion intestinale, non exceptionnelle chez les vieillards par formation d’un fécalome obstructif (accumulation rectale de selles dures qui ne peuvent être évacuées naturellement).
Chez les malades psychiatriques ayant des pulsions d’ingestion bizarres on peut voir des blocages digestifs sur des bézoards (boules de matières non digestibles : cheveux par exemple, ou matière plastiques). Chez ces malades, la prescription de médicaments neurotropes provoque aussi des occlusions sournoises quand le suivi médical est insuffisant.

Enfin, l’occlusion peut survenir sur un obstacle non ingéré, habituellement une tumeur du côlon (cancer), ou l’extension locale d’une tumeur abdominale.

Constipation is a symptom characterized by a delay or difficulty in evacuating stools. We speak of constipation when there are fewer than three bowel movements per week and / or when the stools are difficult to pass (to exempt, for doctors).
It is chronic when it lasts for more than six months. Loose stools do not refute constipation, which scientifically establishes a daily stool weight below average: an impossible verification pratique.La constipation slower digestive transit is the most common form.
Constipation “terminal”, called dyschezia recto-anal, is a disorder of the only evacuation of stool in the rectum and anus. It is frequently combine the two disorders.
Constipation may be the only disease (idiopathic constipation) or be secondary to another disease.

Risks

In Western countries, the prevalence of constipation is between 15 and 20% of the population. In France, a survey of the general population on the subjective complaints constipation found in 35% of respondents, and a sensation of incomplete evacuation in 19% (Epitome of Hepato-Gastroenterology 2009 – ECN Elsevier) . Women are more prone than men to this complaint.

Constipation accompanying drug morphine, cocaine and derivatives thereof are powerfully constipating. The consumption of many drugs affecting the autonomic balance also exposed to this adverse effect.

It can eventually lead to complications such as anal fissures, hemorrhoids, weakness perineal promoting urinary incontinence and / or anal and sexual disorders.

The major risk is the occlusion or intestinal sub-occlusion, not exceptional in old people by forming an obstructive fecal impaction (rectal accumulation of hard stool that can not be removed of course).
Among psychiatric patients who swallowed bizarre impulses can be seen digestive blockages on bezoars (balls of indigestible materials: for example hair, or plastic material). In these patients, prescription neurotropic drugs also causes occlusions sneaky when health surveillance is insufficient.

Finally, the occlusion may not occur on a barrier ingested, usually colon tumor (cancer), or the local expander abdominal tumor.

Conjonctivite

On parle ici d’une inflammation par irritation ou infection de la conjonctive oculaire, c’est-à-dire de la membrane transparente qui recouvre l’intérieur des paupières et le blanc de l’œil. Elle est parfois associée à une inflammation de la cornée (kératite). On parle alors de kérato-conjonctivite.

Risques / Causes

Dans le cas des conjonctivites infectieuses, il y a un risque de transmission et il faut donc prendre les mesures d’hygiène nécessaires pour éviter autant que possible une épidémie (surtout en milieu collectif comme les écoles) : ne pas toucher les autres personnes (éviter les baisers), bien se laver les mains, ne pas porter de lentilles, ne pas partager son maquillage ou son linge de toilette.

Il existe plusieurs catégories de conjonctivites : les allergiques et les infectieuses – qui regroupent elles-mêmes les conjonctivites virales et bactériennes.

Les conjonctivites allergiques sont souvent couplées à d’autres manifestations allergiques : asthme, rhinite… En fonction de l’allergène en cause, elles peuvent se produire de façon saisonnière au printemps et à l’automne (pollens), mais aussi toute l’année (acariens, poils animaux, etc.). Il y a souvent une prédisposition familiale.

Les conjonctivites infectieuses sont plus fréquentes. Elles sont dues à la contamination locale par une bactérie ou un virus.

We are talking about by irritation or inflammation of the conjunctiva infection, that is to say, the transparent membrane that covers the inside of the eyelids and the white of the eye. It is sometimes associated with inflammation of the cornea (keratitis). This is called keratoconjunctivitis.

Risks / Causes

In the case of infectious conjunctivitis, there is a risk of transmission and we must take the necessary hygiene measures to avoid as far as possible epidemic (especially in the middle class, such as schools): Do not touch other people (avoid kissing), wash their hands, do not wear lenses, do not share makeup or towels.

There are several types of conjunctivitis: allergic and infectious – which group themselves viral and bacterial conjunctivitis.

Allergic conjunctivitis is often coupled with other allergic manifestations: asthma, rhinitis … Depending on the allergen, they can occur seasonally in spring and fall (pollens), but also all year (mites, animal hair, etc.). There is often a family predisposition.

Infectious conjunctivitis is more common. They are due to local contamination by bacteria or a virus.

Coliques néphrétiques

La colique néphrétique est un syndrome douloureux lombo- abdominal aigu résultant de la mise en tension brutale de la voie excrétrice du haut appareil urinaire, en amont d’une obstruction, quelle qu’en soit la cause.

Cette définition médicale peut se dire plus simplement ainsi : quelque chose bloque la voie de sortie de l’urine (uretère) qui va du rein à la vessie.

L’urine s’accumule en amont du blocage et distend rapidement l’uretère puis le rein. Cette distension est très douloureuse et agite le patient ; on parle populairement de « colique frénétique ». C’est une urgence médicale.

Risques

Le risque est de détériorer le rein bloqué par l’urine qui ne s’évacue plus : on parle d’insuffisance rénale. L’infection des urines stagnantes est aussi à craindre, elle peut s’étendre rapidement au rein et contribuer à le détruire. Elle constitue un foyer de septicémie.

Pour l’Association française d’Urologie (AFU, recommandations actualisées, 2008), elle représente 1 à 2% des admissions aux urgences hospitalières, et concerne préférentiellement l’homme de 20 à 60 ans ; son taux de récidive est important (50 à 70% dans les 10 ans). Dans une communication récente (Bensalah et Gautier, congrès de l’AFU, 2011), une étude épidémiologique estime à 100 000 le nombre de coliques néphrétiques annuelles, en France. La moitié serait due à des calculs inférieurs à 6 mm.

La cause de l’obstruction urinaire est donc une lithiase (calcul) dans la grande majorité des cas ; or la fréquence des calculs urinaires croît régulièrement dans le monde, en rapport avec la modification de l’alimentation et de l’hygiène de vie, ainsi que par les médicaments et les maladies qui favorisent leur survenue.

Renal colic is a painful acute abdominal lombo- syndrome resulting from the sudden tensioning of the urinary tract of the upper urinary tract, upstream obstruction, whatever the cause.

The medical definition can say simply this: something is blocking the way out of the urine (ureter) that goes from the kidney to the bladder.

The urine builds up upstream of the blocking and rapidly distends the ureter and kidney. This distension is very painful and agitated patient; is popularly referred to as “frantic colic.” This is a medical emergency.

Risks

The risk of damaging the kidney blocked urine that drains more: we speak of kidney failure. Infection of stagnant urine is also a risk, it can quickly spread to the kidneys and help destroy it. It is a sepsis home.

For the French Association of Urology (AFU, updated recommendations, 2008), it represents 1 to 2% of admissions to hospital emergency and preferentially concerns man of 20-60 years; the recurrence rate is high (50-70% in 10 years). In a recent communication (Bensalah and Gautier, Congress EBA, 2011), an epidemiological study estimated 100,000 the number of annual renal colic, France. Half was due to the calculations below 6 mm.

The cause of urinary obstruction is a lithiasis (calculation) in the majority of cases; or the frequency of urinary stones steadily growing in the world, in connection with the change of diet and lifestyle, as well as drugs and diseases that promote their occurrence.

Cirrhoses hépatiques

Les cirrhoses hépatiques sont des maladies chroniques du foie qui provoquent la destruction de ses cellules (ou hépatocytes). Les cirrhoses sont donc des maladies graves puisqu’à terme le foie est remplacé par une fibrose qui ne lui permet pas d’assurer ses fonctions. Plusieurs origines des cirrhoses hépatiques sont retrouvées : la cirrhose alcoolique est la plus fréquente, les hépatites arrivent en deuxième position puis d’autres maladies rares (cirrhose biliaire primitive, hémochromatose…).

Risques / Causes

Les cirrhoses hépatiques sont des maladies fréquentes. Leur fréquence en France est estimée à 2 000 à 3 300 cas par million d’habitants. Le nombre de décès est estimé à 15 000 chaque année, liés aux complications de la cirrhose (hémorragie digestive, infections, cancers…). L’âge moyen du diagnostic est de 55 ans. Les principales causes sont l’alcool (50 à 75 %) et les hépatites (virus de l’hépatite C ou de l’hépatite B).

Les causes les plus fréquentes sont l’alcoolisme chronique et les hépatites virales. Tous ces facteurs entraînent des lésions des tissus du foie aboutissant à une fibrose et à une destruction de l’architecture hépatique. Chronologiquement, les premières lésions sont celles de stéatose hépatique réversibles, puis d’hépatite et de fibrose irréversible (stade de cirrhose).

Liver cirrhosis are chronic liver diseases that cause the destruction of its cells (or hepatocytes). Cirrhosis are the major diseases of the term since, the liver is replaced by fibrosis that does not allow it to perform its functions. Several origins are found in liver cirrhosis: alcoholic cirrhosis is the most common, hepatitis came second and other rare diseases (primary biliary cirrhosis, hemochromatosis …).

Risks / Causes

Liver cirrhosis are common diseases. Their frequency in France is estimated at 2 000-3 300 cases per million inhabitants. The death toll is estimated at 15,000 each year related to complications of cirrhosis (gastrointestinal bleeding, infections, cancers …). The average age of diagnosis is 55 years. Main causes are alcohol (50 to 75%) and hepatitis (hepatitis C, hepatitis B).

The most common causes are chronic alcoholism and viral hepatitis. All these factors lead to liver tissue damage leading to fibrosis and destruction of hepatic architecture. Chronologically, the first reversible lesions are those of fatty liver and hepatitis and irreversible fibrosis (cirrhosis stage).

Cirrhose biliaire primitive

La cirrhose biliaire primitive (CBP) est une maladie inflammatoire auto-immune des petites voies biliaires situées à l’intérieur du foie (on parle de voies biliaires intrahépatiques). La CBP est de cause inconnue et survient chez la femme après 40 ans.
Les médecins utilisent le terme « cirrhose » même si cette dernière ne survient pas immédiatement. Mais comme toutes les cirrhoses hépatiques, la CBP aboutit progressivement à une destruction des cellules du foie (appelés hépatocytes) et à terme, ce dernier est remplacé par une fibrose qui ne lui permet plus d’assurer ses fonctions. Le diagnostic repose sur la ponction biopsie du foie ou ponction biopsie hépatique (PBH).

Risques / Causes

Plus de 10 000 cas sont recensés en France, ce qui représente une prévalence de la maladie de 20 pour 100 000 habitants. La CBP touche préférentiellement les femmes de plus de 40-45 ans, avec une prévalence pouvant atteindre chez elles 86 pour 100 000.
Des facteurs génétiques et des facteurs environnementaux (tabac, infections, produits chimiques…) expliqueraient la maladie.

La CBP est d’abord caractérisée par une atteinte inflammatoire des canaux biliaires situés à l’intérieur du foie. Cette inflammation portale et la destruction des cellules (on parle de nécrose) se traduisent par un syndrome de stase (ou cholestase) qui autoentretient le phénomène. Une cause auto-immune est suspectée, car des autoanticorps qui détruisent les cellules sont quasiment toujours mis en évidence.
La cirrhose n’apparaît que tardivement, avec des lésions des tissus du foie qui se fibrosent. Ce stade de cirrhose est alors irréversible.

Primary biliary cirrhosis (PBC) is an autoimmune inflammatory disease of the small bile ducts located inside the liver (known as intrahepatic bile ducts). CBP is of unknown cause and occurs in women after 40 years.
Doctors use the term “cirrhosis” even if this does not occur immediately. But like all liver cirrhosis, CBP gradually leads to a destruction of liver cells (called hepatocytes) and term, it is replaced by fibrosis that prevents him from exercising his functions. Diagnosis is based on liver biopsy or liver biopsy (PBH).

Risks / Causes

More than 10,000 cases are reported in France, representing a prevalence of 20 per 100,000 inhabitants. CBP preferentially affects women over 40-45 years, with a prevalence of up to 86 home to 100,000.
Genetic factors and environmental factors (smoking, infections, chemicals …) explain the disease.

CBP is first characterized by inflammatory disease of the bile ducts located inside the liver. This portal inflammation and destruction of cells (called necrosis) result in a stasis syndrome (or cholestasis) that autoentretient the phenomenon. An autoimmune cause is suspected, because of autoantibodies that destroy the cells are almost always highlighted.
Cirrhosis appears only later with liver tissue lesions that fibrosent. It cirrhosis is then irreversible.

Cholestérol et hyper-cholestérolémie

Le cholestérol est un composant essentiel des cellules et de la fabrication de certaines hormones. Le cholestérol est donc indispensable à la vie.

Deux types de cholestérol coexistent : le « mauvais » cholestérol ou LDL-cholestérol qui est la fraction responsable du développement de la plaque d’athérome sur les artères qui vont alors se boucher progressivement : l’athérosclérose, et le « bon » cholestérol ou HDL-cholestérol dont l’augmentation du taux est, à l’inverse, associée à une diminution du risque vasculaire.

L’hypercholestérolémie correspond, dans le langage courant à une augmentation en excès du LDL-cholestérol qui est un facteur de risque cardiovasculaire (FRCV). Il peut être responsable de maladies cardio-vasculaires telles qu’un infarctus du myocarde, un accident vasculaire cérébral ou une artériopathie des membres inférieurs.

L’hypercholestérolémie fait partie du groupe des dyslipidémies dont fait également partie l’hypertriglycéridémie qui est un excès de triglycérides dans le sang avec des conséquences relativement similaire à l’hypercholestérolémie.

L’hypercholestérolémie est un facteur modifiable par le régime alimentaire et par l’administration de médicament hypolipémiant (statines principalement).

L’hypercholestérolémie est fréquente. Selon l’Étude national nutrition santé (ENNS 2006-2007), 30,1 % des personnes âgées de 18 à 74 ans avaient, soit un traitement hypolipémiant, soit un taux élevé de LDL-cholestérol dans le sang : 18,9 % avaient un taux de LDL-cholestérol élevé ( >1,6 g/l ) et 12,2 % suivaient un traitement médicamenteux par hypolipémiant.

L’hypercholestérolémie représente en France et dans le monde un enjeu majeur de Santé Publique.

Risques

L’hypercholestérolémie (excès de « mauvais » cholestérol dans le sang) engendre la formation de plaques sur les parois des artères, ces plaques comprennent également du calcium et d’autres composés. Il s’agit de plaque d’athérome. L’augmentation de l’épaisseur de ces plaques entraine une réduction de l’espace des artères dans lesquelles circule le sang et ainsi provoque une diminution du flux sanguin. A l’extrême, ces plaques peuvent occlure totalement les artères.
Par ailleurs, dans certaines conditions, ces plaques d’athéromes peuvent se détacher de la paroi artérielle, souvent en se fragmentant. Ces petits morceaux de plaques sont propulsés par le flux sanguin jusque dans des tous petits vaisseaux où ils vont être piégés et ainsi boucher ces petits vaisseaux.

Ces phénomènes d’artériosclérose ou d’athérosclérose sont un facteur de risque cardio-vasculaire, c’est-à-dire qu’ils sont potentiellement responsables, avec d’autres facteurs, d’évènements grave tels que :
– Infarctus du myocarde pouvant causer la mort ou l’insuffisance cardiaque
– Accidents vasculaires cérébraux fréquemment responsable de lourdes séquelles altérant la qualité de vie voire le décès
– Artériopathie oblitérante des membres inférieurs avec pour conséquence d’abord une difficulté à la marche puis des lésions des jambes pouvant conduire à l’amputation
– L’insuffisance rénale chronique qui a son stade terminal peut nécessiter le recours à la dialyse.

Les autres facteurs de risques cardiovasculaires sont de deux types :
– Les non modifiables : âge > 50ans, sexe masculin, antécédents familiaux de maladies cardio-vasculaires
– Les modifiables dont fait partie l’hypercholestérolémie : hypertension artérielle, diabète, obésité, sédentarité, tabagisme

Cholesterol is an essential component of the cells and the production of certain hormones. Cholesterol is essential to life.

Two types of cholesterol coexist: the “bad” cholesterol or LDL cholesterol fraction that is responsible for the development of atherosclerotic plaque in the arteries that then will gradually clog: atherosclerosis, and “good” cholesterol or HDL -cholesterol including increased rate is conversely associated with decreased cardiovascular risk.

High cholesterol is, in common parlance to an excess increase in LDL cholesterol which is a cardiovascular risk factor (FRCV). It may be responsible for cardiovascular diseases such as myocardial infarction, stroke or peripheral arterial disease.

High cholesterol is part of the group of dyslipidemia including hypertriglyceridemia is also the part which is an excess of triglycerides in the blood with relatively similar to cholesterol consequences.

High cholesterol is a modifiable factor in the diet and the lipid-lowering drug administration (primarily statins).

High cholesterol is common. According to the National Health and Nutrition Survey (ENNS 2006-2007), 30.1% of people aged 18-74 years had either lipid-lowering therapy, a high LDL-cholesterol in the blood: 18.9% had high LDL-cholesterol levels (> 1.6 g / l) and 12.2% were receiving lipid-lowering drug therapy.

High cholesterol is in France and in the world a major challenge for public health.

Risks

Hypercholesterolemia (excess “bad” cholesterol in the blood) causes formation of plaques on the artery walls, these plates also include calcium and other compounds. This is atherosclerotic plaque. Increasing the thickness of these plates causes a reduction in the arteries of the space in which circulates the blood and thus causes a decrease in blood flow. In extreme cases, these plates can completely occlude the artery.
Furthermore, under certain conditions, these atheromatous plaques may break away from the arterial wall, often fragmenting. These small pieces of plates are propelled by the bloodstream into all the small vessels where they will be trapped and thus clog the small vessels.

These arteriosclerosis or atherosclerosis phenomena are a cardiovascular risk factor, that is to say, they are potentially liable, together with other factors of serious events such as:
– Myocardial infarction can cause death or heart failure
– Strokes frequently responsible for serious sequelae altering the quality of life or death
– Arterial occlusive members with difficulty walking can result in first leg of lesions that can lead to amputation
– Chronic renal failure which has its terminal stage may require the use of dialysis.

Other cardiovascular risk factors are of two types:
– Non-modifiable: age> 50 years, male gender, family history of cardiovascular disease
– Editable which includes high cholesterol: high blood pressure, diabetes, obesity, sedentary lifestyle, smoking

Chimiothérapie

La chimiothérapie des cancers consiste en l’administration de médicaments qui vont ralentir, voire stopper la multiplication anarchique des cellules cancéreuses. La chimiothérapie peut être :
– curative, lorsqu’elle est utilisée pour détruire la tumeur primaire,
– néoadjuvante ou adjuvante lorsqu’elle est utilisée pour optimiser l’efficacité d’un traitement par chirurgie ou par radiothérapie,
– palliative, pour améliorer la qualité de vie du patient en retardant la progression d’un cancer déjà avancé.
Selon la nature de la tumeur, les médicaments efficaces ne sont pas les mêmes. En règle générale, le traitement proposé comporte plusieurs molécules : ces associations permettent d’atteindre des résultats supérieurs à ceux obtenus avec chacune des molécules administrées seules, tout en limitant les doses utilisées et les effets secondaires qui en découlent.

Cancer chemotherapy is the administration of drugs that will slow or stop the uncontrolled growth of cancer cells. Chemotherapy may be:
– Curative when used to destroy the primary tumor,
– Neoadjuvant or adjuvant when used to optimize the effectiveness of a treatment by surgery or radiotherapy,
– Palliative, to improve the quality of life of the patient by delaying the progression of an already advanced cancer.
Depending on the nature of the tumor, effective drugs are not the same. In general, the proposed treatment has several molecules: these organizations achieve superior results to those obtained with each of the molecules administered alone, while limiting the doses and side effects that result.

Cellulite infectieuse

La cellulite infectieuse est une infection par des bactéries qui se propagent dans et sous la peau ; elle s’attaque aux tissus « mous », comme la peau elle-même, le tissu sous-cutané et les graisses sous-jacentes. Elle concerne aussi les espaces cellulaires entre les organes dans le corps : le médiastin par exemple (entre la peau, les poumons et le cœur). Elle survient souvent à partir d’une plaie ou d’un bouton mal traités, d’interventions médicochirurgicales et surtout dentaires mal encadrées. Les noms qu’on lui donne varient en fonction des localisations de l’infection.

Risques

Les risques sont l’extension incontrôlable de l’infection : localement dans le tissu cutané (la gangrène) et aux organes (la méningite), ou dans tout le corps par le sang (la septicémie). Le décès n’est pas rare malgré les progrès de la réanimation médicale : un malade sur sept en septicémie (chiffres InVeS publiés en 2005).
Les raisons de cette mortalité élevée sont multiples. Les bactéries ont une toxicité propre (comme le méningocoque) et résistent de plus en plus aux antibiotiques (comme le staphylocoque). Ensuite, les personnes fragiles ou temporairement fragilisées sont nombreuses : personnes âgées, enfants, malades chroniques, malades déjà infectés (sida, paludisme)…

La cellulite infectieuse n’est pas contagieuse à distance dans la mesure où c’est une infection piégée dans le corps sous la peau, mais quand la peau se détériore les bactéries se montrent à l’air libre, prêtes à contaminer les imprudents. L’hygiène et la protection antibactérienne s’appliquent donc avec rigueur : lavage des mains et de tout ce qui entre en contact, port de gants et de masque, vêtements et effets personnels réservés et traités à part.

Infectious cellulite is an infection by bacteria which propagate in and under the skin; it attacks the “soft” tissues such as the skin itself, the subcutaneous tissue and underlying fat. It also relates to the cellular spaces between the organs in the body: the mediastinum for example (in the skin, lungs and heart). It often arises from a wound or mistreated button of medical and surgical interventions and especially poorly supervised dental. The names given to it vary depending on the infection sites.

Risks

The risks are the uncontrollable spread of infection: locally in the skin tissue (gangrene) and organs (meningitis) or throughout the body by the blood (sepsis). The death is not uncommon despite advances in medical intensive care: a patient in seven septicemia (Inves figures published in 2005).
The reasons for this high mortality are multiple. Bacteria have their own toxicity (such as meningococcus) and resist increasingly antibiotic (such as staphylococcus). Then temporarily fragile or vulnerable people are numerous: the elderly, children, chronically ill, already infected patients (AIDS, malaria) …

The cellulitis is not contagious remote since it is an infection in the body trapped under the skin, but when the skin deteriorates bacteria show to air, ready to infect the unwary. The hygiene and antibacterial protection therefore apply rigorously: washing hands and all that comes into contact, wearing gloves and mask, clothing and personal items reserved and treated separately.

Céphalées

Les céphalées ou maux de tête constituent un symptôme très fréquent et que l’on retrouve dans de nombreuses pathologies, de la plus bénigne à la plus grave. Les céphalées peuvent être aiguës (brutales, récentes) ou chroniques depuis plusieurs semaines, elles peuvent évoluer par paroxysmes et se calmer ou au contraire être permanentes ; enfin, la localisation des céphalées est variable : la douleur est toujours située au niveau de la boîte crânienne mais elle peut être unilatérale (un seul côté atteint) ou bilatérale, atteindre une zone localisée ou au contraire l’ensemble du crâne.

Les principales causes sont la migraine, l’algie vasculaire de la face, les céphalées chroniques quotidiennes, les céphalées de tension ou encore une poussée d’hypertension artérielle. D’autres maladies plus graves comme un accident vasculaire cérébral (AVC), une tumeur ou une méningite sont rares et se manifestent par d’autres symptômes associés aux céphalées. Heureusement, la majorité des céphalées sont sans gravité.

Risques

L’International Headache Society et l’Organisation mondiale de la santé ont classé les céphalées en fonction de leurs causes et de leurs fréquences, même si les données épidémiologiques précises manquent cruellement. Les céphalées, notamment céphalée de tension, migraine, algie vasculaire de la face et céphalée chronique quotidienne, sont responsables d’un handicap qui peut être important pour les patients.

Rien que pour les céphalées de tension, on estime que dans les pays industrialisés, elles affectent plus de 80 % des femmes. De même, près de 1 adulte sur 20 souffrirait de céphalée chaque jour ou presque. L’OMS a ainsi placé la migraine au 19e rang mondial des causes d’années de vie en incapacité.

Headaches or headaches are a very common symptom and is found in many diseases, from the most benign to the most serious. Headaches can be acute (sudden, recent) or chronic for several weeks, they can evolve in paroxysms and calm down or otherwise be permanent; Finally, the location of headache is variable: the pain is always located at the cranium but may be unilateral (one side reached) or bilateral achieve a localized area or on the contrary the entire skull.

The main causes are migraine, cluster headache, chronic daily headache, tension headache or a high blood pressure thrust. Other more serious diseases such as stroke (stroke), a tumor or meningitis are rare, occurring with other symptoms associated with headaches. Fortunately, most headaches are not serious.

Risks

The International Headache Society and the World Health Organization ranked the headaches according to their causes and their frequency, although precise epidemiological data are starved. Headaches, including tension headache, migraine, cluster headache and chronic daily headache, are responsible for a disability which may be important for patients.

Just for tension headache, it is estimated that in industrialized countries, they affect over 80% of women. Also, almost 1 in 20 adults suffer headache almost every day. WHO has placed migraine in 19th World leading cause of years of life with disability.