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Cancer de l’endomètre

Les cancers de l’utérus débutent presque toujours au niveau de l’endomètre. C’est pourquoi on parle le plus souvent de “cancers de l’endomètre”. Il en existe plusieurs types, mais le carcinome est de loin le plus fréquent.

Tant qu’ils restent localisés (pas d’extension de la tumeur vers d’autres organes), ces cancers sont de bon pronostic. D’après l’étude Eurocare 4 rendue officielle en 2009, l’espérance de vie à 5 ans des patientes ayant eu un cancer de l’endomètre est de 73%.

Causes

Le cancer de l’endomètre survient généralement après la ménopause, chez des femmes âgées de 55 à 70 ans. Les facteurs de risque sont nombreux : l’âge, l’obésité, le diabète, l’hypertension, le fait de ne pas avoir eu d’enfants, la ménopause tardive… Le cancer de l’endomètre peut parfois être lié à des facteurs héréditaires. Il est alors associé dans les familles à un risque élevé de cancer du côlon et plus rarement de l’ovaire.

Certains traitements peuvent exposer au risque de cancer de l’utérus. C’est en particulier le cas des traitements hormonaux mal conduits ou des traitements affectant le fonctionnement des hormones féminines œstrogènes. C’est la raison pour laquelle une surveillance gynécologique attentive est nécessaire lorsqu’on a reçu un traitement aux anti-œstrogènes dans le cadre de la prise en charge d’un cancer du sein.

Cancer colorectal

Le côlon, appelé également gros intestin, correspond à la partie terminale de l’intestin longue d’environ 1,50 à 1,80 m. Les 20 derniers centimètres du côlon constituent le rectum. Une fois la nourriture digérée, les résidus solides se déplacent dans le côlon puis dans le rectum jusqu’à l’anus ou ils sont expulsés de l’organisme

Causes

Les travaux scientifiques ont montré que certains facteurs peuvent augmenter les risques de développer un cancer colorectal :

Les facteurs génétiques:
Certaines maladies d’origine génétique augmentent le risque de survenue de cancers colorectaux.

Les antécédants familiaux:
Le risque d’apparition d’un cancer colorectal est plus important chez une personne dont un des parents du premier degré (père ou mère, frères ou sœurs, enfant) a été atteint de ce type de cancer. Les personnes ayant eu des lésions précancéreuses (polypes…) ou un cancer colorectal ont un risque plus important de développer un cancer.

Alimentation:
L’alimentation joue un rôle important dans l’étiologie des cancers colorectaux. Le rôle protecteur des légumes et le rôle aggravant d’un apport calorique élevé sont les faits les mieux établis. Le tabac favoriserait l’apparition des polypes adénomateux et l’alcool leur augmentation de taille. Enfin, l’activité physique jouerait un rôle protecteur.

The colon, large intestine, also called, corresponds to the end portion of the long intestine of about 1.50 to 1.80 m. The last 20 centimeters of the colon is the rectum. Once digested food, the solid residues are moving in the colon and the rectum to anus or they are expelled from the body

Causes

Scientific studies have shown that certain factors can increase the risk of developing colorectal cancer:

Genetic factors:
Some genetic diseases increase the risk of developing colorectal cancer.

Family antecedents:
The risk of developing colorectal cancer is higher in a person one of whose first-degree relatives (parent, sibling, child) has been reached for this type of cancer. People who have had precancerous lesions (polyps …) or colorectal cancer have a higher risk of developing cancer.

Food:
Diet plays an important role in the etiology of colorectal cancers. The protective role of vegetables and aggravating role of a high caloric intake are the best established facts. Tobacco favor the appearance of adenomatous polyps and alcohol their size increase. Finally, physical activity plays a protective role.

Calculs urinaires

Les calculs urinaires (ou urolithiases) sont des cristaux de sels qui se forment dans l’appareil urinaire. Le rein, l’uretère (reliant le rein à la vessie), la vessie ou l’urètre (reliant la vessie au méat urinaire) sont concernés par la formation de calculs urinaires.

Les petits calculs s’éliminent naturellement mais les plus gros sont responsables de douleurs lorsqu’ils ne peuvent être évacués : on parle de colique néphrétique.

Risques / Causes

2 à 3 % de la population générale souffrent de lithiase urinaire. Les hommes sont un peu plus concernés que les femmes et le rein gauche est plus souvent atteint que le rein droit.

En cas de récidives des crises, le risque est une atteinte du rein lui-même, avec diminution de son fonctionnement (insuffisance rénale).

Différents types de calculs sont en cause en fonction de leur composition. On distingue des calculs liés à la cristallisation de calcium, d’acide urique ou encore de cystine.

Une alimentation riche en protéines favorise les calculs ; une faible absorption de boissons est à l’origine d’urines concentrées propices à la formation de calculs. De même, certaines anomalies du sang avec un excès de calcium ou d’acide urique favorisent les calculs urinaires.

Urinary calculi (or urolithiasis) are salt crystals that form in the urinary tract. Kidney, ureter (connecting the kidney to the bladder), the bladder or the urethra (connecting the bladder to the meatus) are involved in the formation of urinary stones.

The small stones naturally eliminate the biggest but are responsible for pain when they can not be removed: one speaks of renal colic.

Risks / Causes

2 to 3% of the general population suffer from urolithiasis. Men are affected slightly more than women and the left kidney is usually reached the right kidney.

In case of recurrence of crises, risk is a violation of the kidney itself with decreased functioning (kidney failure).

Different types of calculations are involved according to their composition. It differs from the crystallization of calcium-related calculations, uric acid or cystine.

A high protein diet promotes the calculations; low absorption drinks is causing urine concentrated conducive to the formation of stones. Similarly, certain abnormal blood with an excess of calcium or uric acid promote urinary calculi.

Asperge

Famille des Liliaceae

Originairaire du Sud de l’Europe, l’asperge sauvage pousse spontanément dans diverses régions de France (Rhône, Sud de la loire par ex.). Variété cultivées : asperge d’Argenteuil, asperges vertes, blanche à pointe violette,…. Elle était déjà cultivée chez les Grecs et les Romains.

Indications
  • Asthénies physique et intellectuelle, convalescences
  • Anémie
  • Déminéralisation
  • Insuffisance hépatique et rénale
  • Lithiase urinaire
  • Arthritisme, goutte, rhumatismes
  • Bronchites chroniques
  • Dermatose (certains eczémas)
  • Viscosité sanguine
  • Palpitations
  • Diabète



Artichaut

Famille des Asteraceae

Originaire des Carthages et des régions méditerannéenes, fut développé par les horticulteurs de la jeune Renaissance italienne et introduit en France, par les guerres d’Italie.

Actuellement, ce légume croît dans presque toutes les contrées d’Europe. Les plus gros artichauts proviennent de Bretagne, cette région en produisant environ 90 000 tonnes par an; il existe également des variétés dites de Laon, de Niort, de Provence.

Indications
  • Asthénie, surmenage
  • Croissance
  • Congestion et insuffisance hépatiques, insuffisance rénale, oligurie,lithiase
  • Rhumatisme, goutte, arthritisme
  • Intoxications
  • Infections intestinales

Comme la plupart des légumes cultivés industriellement, les artichauts sont généralement aspergés de toxiques. Lorsqu’il pleut, ces poisons sont entraînés mais en période de sécheresse, on a pu signaler des malaises plus ou moins importants chez les consommateurs. Il sera donc toujours indiqué de laver les artichauts a grande eau avant de les faire cuire, ou de les choisir biologique.




Bruxisme

Le bruxisme correspond à une contraction inconsciente et involontaire des muscles des mâchoires. Il se traduit soit par un serrement (statique), soit par un frottement ou grincement des dents (dynamique), la nuit ou le jour. Observé consciemment, il peut se contrôler par la volonté, ce qui en limite les conséquences.

Le grincement se produit plus fréquemment pendant la nuit, de façon incontrôlable et sans réveiller le bruxomane (= personne qui bruxe). Il génère des bruits particulièrement gênants pour le voisin de lit. Il s’accompagne parfois de raideur ou de douleur musculaire le matin au réveil, ainsi que par des craquements de l’articulation temporo-mandibulaire (située juste en avant de l’oreille, articulation entre les mâchoires supérieures et inférieures).

Causes

Selon les estimations, le bruxisme concerne 10 à 20% de la population. Il est responsable de traumatismes dentaires, d’un fonctionnement anormal (trop important) des muscles de la mâchoire, donc d’une surcharge de travail pour les articulations temporo-mandibulaires. En détails :
A court terme
– Au réveil, crispations et/ou douleurs des mâchoires, troubles articulaires à type de claquements brutaux ou de difficultés à ouvrir la bouche (crispation musculaire invicible).
– Tensions musculaires étendu aux autres muscles de la face, entraînant des maux de tête (céphalées) et des douleurs du cou (cervicales).
A NOTER : la qualité du sommeil du bruxomane n’est généralement pas altérée.
Les conséquences musculo-articulaires
– la contraction répétée des muscles masticateurs aboutit souvent à leur augmentation de volume et/ou dureté à la palpation (hypertrophie)
– la sollicitation excessive de l’articulation temporo-mandibulaire provoque des craquements, des ressauts ou une gêne à l’ouverture de la bouche.
Les conséquences bucco-dentaires à moyen et long terme
– Le grincement est responsable, en fonction de son intensité, d’usure progressive des dents, de fêlures ou de fractures dentaires. Ces dommages concernent également les prothèses dentaires fixes : couronnes en résine ou en céramique.
– Ajoutés à une mauvaise hygiène dentaire, les traumatismes dentaires peuvent conduire à une mobilité anormale des dents jusqu’au “déchaussement” par atteinte associée de la gencive

Bruxism is an unconscious and involuntary contraction of the jaw muscles. This results in either a tightness (static) or by friction or grinding teeth (dynamic), night or day. Consciously observed, it can be controlled by the will, which limits the consequences.

The grinding occurs more frequently during the night, uncontrollably and without waking bruxomane (= person Bruxe). It generates particularly annoying noises for bed neighbor It is sometimes accompanied by stiffness or muscle pain after waking up, and by cracking of the temporomandibular joint (located just in front of the ear, articulation between the upper and lower jaws).

Causes

According to estimates, bruxism concerns 10-20% of the population. He is responsible for dental trauma, abnormal functioning (excessive) of the jaw muscles, so a work overload for temporomandibular joints. In detail :
Short term
– Wake up tensions and / or jaw pain, joint disorder type brutal slamming or difficulty opening the mouth (muscle twitching invincible).
– Muscle tension extended to other muscles of the face, causing headache (headache) and neck pain (cervical).
NOTE: bruxomane the quality of sleep is usually not impaired.
Musculo-articular consequences
– The repeated contraction of masticatory muscles often leads to their increased volume and / or hardness on palpation (hypertrophy)
– Excessive stress on the TMJ causes crunches, projections or discomfort at the opening of the mouth.
Oral consequences in the medium and long term
– Grinding is responsible, depending on its intensity, progressive tooth wear, fractures or dental fractures. This damage also concern fixed dentures: Crowns resin or ceramic.
– Added to poor dental hygiene, dental trauma can lead to abnormal tooth mobility to the “loosening” of the gum associated reached.

Bronchite Hivernale Aigue

La bronchite hivernale aiguë est définie comme une inflammation transitoire des bronches. Les bronches sont les voies aériennes qui conduisent l’air de la trachée (gorge) jusqu’aux fonds des poumons (alvéoles pulmonaires), où s’effectue l’échange de gaz entre l’air et le sang : l’oxygène (O2) et le gaz carbonique (CO2), c’est à dire la respiration.

Risques / Causes

La bronchite hivernale aiguë « classique » est une infection virale bénigne. Elle régresse le plus souvent sans traitement en quelques jours chez une personne en bonne santé par ailleurs. Une bronchite hivernale aiguë rend néanmoins les bronches plus sensibles aux autres agressions extérieures, d’abord aux bactéries. Elle aggrave aussi les inflammations bronchiques préexistantes, comme l’asthme. Les asthmatiques bien éduqués prévoient cette aggravation et ajustent leur traitement anti-asthmatique en conséquence.
Le risque de surinfection bactérienne (à pneumocoques notamment) concerne surtout les patients vulnérables dont l’état peut évoluer vers une infection du poumon (pneumonie). Les personnes vulnérables sont celles de plus 65 ans, ou ayant une maladie chronique pulmonaire (broncho-pneumopathie obstructive, insuffisance respiratoire) ou cardiaque (infarctus du myocarde, insuffisance cardiaque), mais aussi les diabétiques et les déficients immunitaires.
Toute aggravation d’une maladie bronchique peut induire une détresse respiratoire mortelle en l’absence d’intervention médicale rapide.

Les bronchites hivernales aiguës sont causées par un virus dans neuf cas sur dix, responsable d’épidémies saisonnières de rhinites (rhume), pharyngites, laryngites, ou de grippe : adénovirus, rhinovirus, virus respiratoire syncitial (VRS), virus influenzae (grippe). Ces virus s’accrochent aux parois des bronches et les infectent, provoquant une réaction de défense inflammatoire avec douleur (irritation qui fait tousser) et gonflement (œdème) qui gêne la respiration. Les cellules produisent plus de mucus pour évacuer les intrus viraux. Ce mucus supplémentaire encombre les bronches ; il faut tousser beaucoup plus pour l’évacuer.
La bronchiolite du nourrisson est une forme particulière de bronchite virale due au virus respiratoire syncitial (VRS).

Les bronchites sont plus rarement dues initialement à des infections bactériennes : mycoplasmes ou Chlamidiae, Haemophilus influenzae. Attention cependant, on voit revenir la Bordetella pertussis, l’agent de la coqueluche, particulièrement dangereux pour les nourrissons.

Acute winter bronchitis is defined as a transient inflammation of the bronchi. Bronchi are the airways that leads the air in the trachea (throat) to the bottoms of the lung (alveoli), where is effected the exchange of gases between air and blood oxygen (O2 ) and carbon dioxide (CO2), ie respiration.

Risks / Causes

Acute bronchitis winter “classic” is a benign viral infection. Usually regresses without treatment in a few days in a person in good health otherwise. Acute bronchitis winter still makes them more susceptible to other external attacks bronchi, first to the bacteria. It also aggravates the existing bronchial inflammations such as asthma. Well behaved this worsening asthma plan and adjust their anti-asthmatic treatment accordingly.
The risk of bacterial infection (including pneumonia), especially for vulnerable patients whose condition may progress to lung infection (pneumonia). Vulnerable people are those over 65 or with chronic lung disease (obstructive pulmonary disease, respiratory failure) or heart (myocardial infarction, heart failure), but also diabetes and immune deficient.
Any worsening of lung disease may induce fatal respiratory distress in the absence of prompt medical attention.

Acute bronchitis winter are caused by a virus in nine cases out of ten, responsible for epidemics of seasonal rhinitis (hay), pharyngitis, laryngitis, or flu: adenovirus, rhinovirus, respiratory syncytial virus (RSV), Influenzae virus (flu) . These viruses cling to the walls of the bronchi and infect, causing inflammatory defense reaction with pain (irritation which causes coughing) and swelling (edema) which interferes with breathing. The cells produce more mucus to drain viral intruders. This extra mucus hindrance bronchi; must cough to evacuate much.
Bronchiolitis in infants is a particular form of viral bronchitis due to respiratory syncytial virus (RSV).

Bronchitis are rarely originally due to bacterial infections: Chlamidiae or mycoplasma, Haemophilus influenzae. Beware though, we see the return Bordetella pertussis, the whooping cough agent, particularly dangerous for infants.

Bronchiolite

La bronchiolite tire son nom de l’atteinte des petites bronches par un virus courant (le VRS ou virus respiratoire syncytial) et très contagieux. La période de prédilection des bronchiolites est l’hiver avec un mode d’évolution épidémique. La bronchiolite touche essentiellement les nourrissons de 1 mois à 2 ans. Comme toutes les atteintes virales, la bronchiolite peut se transmettre très facilement entre nourrissons ou à partir d’un rhume d’enfant ou d’adulte.

Risques / Causes

La bronchiolite atteint chaque hiver près de 460 000 bébés de 1 mois à 2 ans soit 30 % des nourrissons, posant un problème de santé publique, notamment en cas de pics épidémiques avec la saturation des consultations de ville et des urgences hospitalières pédiatriques. La tendance est à l’augmentation des cas chaque année. Vie en collectivité et urbanisation favorisent la transmission interhumaine du virus.

Le VRS est le virus principalement impliqué dans la bronchiolite mais d’autres virus peuvent être retrouvés. Ces virus se transmettent directement par les sécrétions contaminées (salive, postillons…) ou indirectement par les mains ou des objets souillés. La durée d’incubation est de 2 à 8 jours et il faut 3 à 7 jours pour que le virus disparaisse totalement. Les symptômes sont liés à l’inflammation provoquée et à l’obstruction des voies aériennes (bronchioles). Le cas le plus fréquent est la guérison sans séquelle mais des lésions anatomiques peuvent survenir exceptionnellement.

Bronchiolitis is named after the achievement of small bronchi by a common virus (RSV or Respiratory Syncytial Virus) and very contagious. The preferred period is winter bronchiolitis with an epidemic evolution mode. Bronchiolitis affects mostly infants from 1 month to 2 years. Like all viral attacks, bronchiolitis can be spread very easily among infants or children from a cold or adult.

Risks / Causes

Bronchiolitis reaches every winter near 460,000 babies from 1 month to 2 years 30% of infants, posing a public health problem, especially in cases of epidemic peaks with the saturation of the city of consultations and pediatric hospital emergencies. The trend is the increase in cases each year. Community life and urbanization promote human transmission of the virus.

RSV is mainly involved in the virus bronchiolitis but other viruses can be found. These viruses are transmitted by contaminated secretions (saliva, postillions …) or indirectly by contaminated hands or objects. The incubation period is 2 to 8 days, and it takes 3 to 7 days for the virus disappears completely. Symptoms are related to inflammation caused and obstruction of the airways (bronchioles). The most common case is healing without sequelae but anatomical lesions may occur exceptionally.

Brûlures

Les brûlures sont des blessures qui atteignent essentiellement la peau et les tissus. Les brûlures peuvent être mineures si les dommages cutanés engendrés sont limités, mais elles peuvent aussi être extrêmement graves et menacer le pronostic vital en cas de lésions majeures.
Les brûlures sont classées en fonction de leur profondeur (du 1er degré, le plus superficiel, au 3e degré, le plus profond) et de leur étendue.

Risques / Causes

Chaque année, les brûlures font 400 000 victimes et occasionnent 1 000 décès.Habituellement, les brûlures sont provoquées par des facteurs extérieurs dont le plus fréquent est le feu ; les médecins parlent de brûlures thermiques. Si la peau est détruite sur une grande surface, elle ne peut plus assurer ses fonctions principales de protection contre les infections, de régulation de la température du corps et de prévention de l’évaporation des liquides de l’organisme. Les risques d’infection, de déshydratation et d’hypothermie ou baisse de la température corporelle sont alors très importants et graves.

La peau est composée de 3 couches : de l’épiderme, couche la plus superficielle au derme et à l’hypoderme, couche la plus profonde. En fonction de leur gravité, les brûlures détruisent l’épiderme (on parle de brûlure du 1er degré), le derme (brûlure du 2e degré) ou l’hypoderme (brûlure du 3e degré).Les brûlures peuvent être dues à des flammes mais également au contact d’un liquide chaud (peau ébouillantée) ou d’un objet chaud (brûlures par contact), aux rayons ultraviolets du soleil et plus rarement à un courant électrique ou à un liquide chimique.

Burns are wounds that substantially reach the skin and tissues. Minor burns can be caused if the skin damage is limited, but they can also be extremely serious and life-threatening in case of major damage.
Burns are classified according to their depth (1st degree, the most superficial, 3rd degree, the deepest) and their extent.

Risks / Causes

Each year, 400,000 are burns victims and cause décès.Habituellement 1000, burns are caused by external factors, the most common is the fire; Doctors speak of thermal burns. If the skin is destroyed over a large area, it can no longer perform its main functions of protection against infections, regulating body temperature and preventing the evaporation of body fluids. The risk of infection, dehydration and hypothermia or decrease in body temperature is then very important and severe.

The skin consists of three layers: the epidermis, the outermost layer of the dermis and hypodermis, the deepest layer. Depending on their severity, burns destroy the epidermis (called 1st degree burns), dermis (second degree burn) or hypodermis (3rd degree burn) .The burns can be caused by fire but also in contact with a hot liquid (scalded skin) or a hot object (contact burns), ultraviolet sunlight and more rarely to an electric current or a chemical liquid.

Bradycardie

La bradycardie fait partie des troubles du rythme cardiaque et correspond à un ralentissement de la fréquence cardiaque. Le rythme cardiaque normal au repos chez l’adulte est entre 60 et 75 battements par minute (bpm) et la bradycardie est définie par une fréquence inférieure à 60 bpm. Les bradycardies proviennent de plusieurs mécanismes : certaines bradycardies sont physiologiques (chez le sportif entraîné par exemple), d’autres révèlent une maladie cardiaque qu’il faut diagnostiquer et traiter.

Causes

Le cœur bat grâce à la transmission d’influx électriques qui commandent le rythme cardiaque. En cas de ralentissement voire d’interruption de cette transmission, on parle de bradycardie. La bradycardie peut être due à un ralentissement de la commande des influx (bradycardie sinusale du sportif par exemple), à une anomalie de la conduction entre la commande et le muscle cardiaque (bloc sinoauriculaire) ou encore à un défaut de conduction au sein du cœur (entre les oreillettes et ventricules) de l’influx (bloc auriculoventriculaire). Des maladies cardiaques (infarctus…) ou extracardiaques (hypothyroïdie) sont des causes possibles de bradycardies.

Bradycardia is part of the heart rhythm and corresponds to a slower heart rate. The normal resting heart rate in adults is between 60 and 75 beats per minute (bpm) and bradycardia is defined by a frequency lower than 60 bpm. Bradycardia come from several mechanisms: some are physiological bradycardia (eg resulted in the sport), others reveal a heart disease that must be diagnosed and treated.

Causes

The heart beats thanks to the electrical impulses that control the transmission of heart rate. In case of slowdown or interruption of the transmission, it is called bradycardia. Bradycardia may be due to a slowdown in control of impulses (sinus bradycardia sportsman for example) to an abnormality of the conduction between the control and the heart muscle (the sinus block) or to defective conduction in the heart (between the atria and ventricles) of the impulses (atrioventricular block). Heart disease (myocardial …) or extracardiac (hypothyroidism) are possible causes of bradycardia.