Magnétiseur – Naturopathe
Recherche
Eau Pure

La meilleure boisson pour l'homme : L'eau dissout toutes les toxines...

En Savoir Plus

Nourriture Nature

Utiliser la force vitale des aliments via la lumière du soleil qu'ils absorbent au cours de leur croissance...

En Savoir Plus

Youtube

Naturopathie

Yoga léger

Méditer

Chaîne gratuite
Claude-Sophie
sur

 CS

En Savoir Plus

Yoga léger

Le Corps ne s'use que si l'on ne s'en sert pas ! La sédentarité tue à petit feu...

En Savoir Plus

Méditer

Méditer en Conscience : pour guérir petit à petit de nos souffrances émotionnelles, conflits non résolus, chocs, relations... 

En Savoir Plus

Saut de l'Ange

Safran

Plus près de nous, Roques lui reconnaissait des propriétés stomachiques, emménagogues, stimulantes et aphrodisiaques. Il en faisait un narcotique léger. Leclerc, de son côté, le conseillait pour calmer des douleurs des gastralgies et comme emménagogue, dans les cas dysménorrhée et d’insuffisance ovarienne chez les femmes anémiées et lymphatiques. Toutes ces vertus thérapeutiques réelles du Safran sont bien délaissées de nos jours, seuls nous intéressent maintenant ses usages culinaires. On l’utilise encore parfois pour l’usage externe contre les troubles de la première dentition (le « sirop de dentition de Delabarre » est à base de Safran).

Il ne faut pas confondre le véritable Safran avec le Carthame, appelé encore Safran bâtard d’Allemagne, ni avec le Colchique ou Safran des prés, ni avec le Curcuma ou Safran des Indes. Carthame et Curcuma ont été parfois employés frauduleusement pour falsifier le Safran, épice très cher.




Cognassier

Le Coing est antidiarrhéique très efficace. Il contient une grande quantité de tanin, ce qui le fait recommander dans les diarrhées des débilités, des tuberculeux, des convalescents, des enfants et des vieillards. Son astringence le fait employer aussi contre les crachements de sang, les hémorroïdes saignantes, les affections de la bouche et des gencives et les relâchements du vagin.
Les pépins contiennent beaucoup de mucillage : celui-ci servait autrefois à préparer la “bandoline” des coiffeurs et entre encore dans certains collyres. Très adoucissants, on les utilise contre les gerçures des lèvres et des mamelons, les engelures, l’eczéma des mains, les brûlures, les conjonctivites, les hémorroïdes enflammées.





HE Persil frisé

Indications (VT +) :

  • Troubles nerveux, épilepsie +++
  • Entérocolites spasmodique et inflammatoire ++
  • Troubles rénaux, petite insuffisance rénale +

Contre-indications : Prudence, toxicité aiguë ou chronique en cours d’études (présence de myristicine).




HE Baume du Pérou

Indications (VT +) :

  • Bronchite aiguë, chronique et asthmatiforme +, toux, grippe, tuberculose
  • Cystite colibacillaire ++, urétrite, pyélite
  • Dermatoses parasitaires (gale, pédiculose, teigne) +++

Contre-indications : Usage cutané prolongé (dermite de contact), usage interne (irritante).




Abricot

En Chine, les abricots sauvages étaient récoltés pour extraire l’huile de leur amandes. Certaines variétés d’abricotier furent aussi sélectionnées pour leur amandes.

Depuis l’Antiquité, l’amande d’abricot est traditionnellement prescrite contre la toux et la constipation.

  • indications :

– bronchite, toux et asthme
– constipation

  • toxicité : l’aygdaline, le composant actif de l’amande amère est très toxique à forte dose.

En médecine chinois, l’abricot sec est conseillé pour traiter l’anémie, l’asthme et les sensations de gorge sèche ou de soif.

L’amande amère d’abricot contient de l’amygdaline, de l’émulsine, et de nombreuses enzymes (amygdaline, prunase etc.). Elle contient aussi des acides gras (acide oléique, acide linoléique les deux constituants principaux et de l’acide palmitique, stéarique et linolénique), du cholestérol, de l’estrone, alpha-estradiol. L’hydrolyse de l’agmygdaline conduit au benzaldéhyde et à l’acide cyanhydriqur.




Esthétique

Associé à la mauve, les propriétés adoucissantes de l’abricot conservent à la peau normale son équilibre précieux.
En été, les peaux sèches apprécieront particulièrement une application de pulpe fraîche d’abricot bien mûr, surtout si elle est suivie de celle d’une lotion et hydratante.

Linaire commune

Pour mémoire :
La Linaire commune (Linaria vulgaris) ; très commune dans les champs incultes, elle doit son nom à la ressemblance de ses feuilles avec celle du Lin. Ses fleurs jaunes, en éperons, sont disposées en épis. Son odeur est vireuse et sa saveur amère. Employée surtout comme diurétique, elle était surnommée Urinalis par les anciens médecins. On l’utilisait aussi comme purgatif et en applications externes contre les hémorroïdes et les dartres ;
Le Muflier (Antirrhinum majus), bien connu comme plante ornementale sous le nom de Gueule-de-Loup ou Muflier-de-Veau. On le disait stimulant ou, au contraire, émollient… ;
La Cymbalaire (Linaria cymbalaria), souvent appelée Ruine-de-Rome. Elle garnit les vieilles murailles de ses tiges menues et retombantes. Sa saveur est aigrelette et poivrée. Elle passait pour vulnéraire et antiscorbutique ;
La Velvote (Antirrhinum elatine) ou Véronique bâtarde, petite plante rampante des jachères, qui passait pour purgative.